Comme une clairière que l'on n'attendait pas, 2008. Bois façonné main, peinture. 4 éléments. 120 x 108 x 2 cm / 63 x 64 x 2 cm / 80 x 41 x 2 cm / 73 x 45 x 2 cm.
Marcher laisse forcément une trace, 15 mars 2012. Impression sur papier. Chaque élément : 6 cm x 3,5 cm.
Pour l’édition 2009 du projet Runbook consacrée au paysage, contributions en ligne de plasticiens et d’écrivains échelonnées sur l’année je propose Comme une clairière que l’on n’attendait pas.
Cette œuvre de 2008 (bois façonné main, peinture) est composée de 4 éléments répartis au sol selon un schéma déterminé. Ici, la sculpture définit un territoire que l’on peut saisir globalement, que l’on peut approcher et contourner mais que l’on ne pourra pas traverser. Le paysage comme événement et présence physique indissociable d’un répertoire d’images mentales où la notion d’extériorité ne s’envisage que dans une relation étroite à l’intériorité.
Pour l’édition 2012 du projet Runbook, je réalise Marcher laisse forcément un trace.
Au cours d’un même jour, le 15 mars 2012, je comptabilise manuellement mes pas du lever au coucher, portant ainsi une attention particulière aux différentes gestes et mouvements de cette journée. Une série de stickers, reprenant l’intitulé et le résultat de cette action, sera ensuite collée dans l’espace urbain et selon le parcours principal reliant mon domicile à mon lieu de travail.
Projet Runbook